Scène 1

  • Dresseur de libellules
  • Textes

Voici l’ébauche du scénario de la première scène que j'aimerais bien réaliser. J'ai dû jonglé entre mon envie de faire du récit, comme à mon habitude et l'écriture pure de scénario, puisque ceux-ci son principalement basé sur l'action. Évidemment n'ayant aucune formation du monde du cinéma, cela reste amateur.

Je souligne aussi que c'est une sorte de prologue qui lance et présente les personnages et l'intrigue cela manque d'action. Je me trouve presque trop dans le politique à ce stade.

J'aimerais si possible avoir des retours pour savoir si l'idée vous plait, merci et bonne lecture.

http://ajgiel.deviantart.com/

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Des nobles discutent dans un salon. On parle d’un mystérieux Marionnetiste qui a le peuple dans la paume de sa main de fer.

 

  • Le Marionetiste joue avec mes nerfs. Il y a deux semaines le maître d’œuvre des écuries des pleines m’annonçait rompre le contrat qu’il avec moi puisqu’il venait de lui vendre tous les poulains qu’il possèdait. Aujourd’hui c’est une partie de mon personnel de maison qui me quitte pour entretenir une de ses maisons qui se trouve être totalement vide. Je suis persaudé que cet homme m’en veut et je vais m’en plaindre au roi.

 

  • Il paraît même qu’il a acheté le couvent des sœurs Capeleines. C’est scandaleux qu’un homme s’approprit cette pieuse batise. Imaginez qu’il décide de leur rendre visite, elles ne peuvent lui refuser l’entrer, pourtantces femmes refusent la présent d’hommes autres que leurs esclaves asexués.

 

  • Dame Marianna, ces femmes sont vos précéptrices, n’est-il pas vrai qu’elles sont effrayés ?

 

  • Je ne peux que partager leur effroi puisque je réside périodiquement entre ces murs. Par chance, mon père, le Duc, a réussit à obtenir de la part du notaire de ce manipulateur, la promesse que jamais il ne dérangerait la tranquillité des sœurs.

 

Approbation général. Un serviteur annonce l’arriver du roi. Celui-ci entre accompagner par deux des ces proches. Lyssendre, un jeune aristocrate lasse de sa vie et le duc Monbien, conseillé du roi. Les nobles saluent le roi et les deux hommes qui l’accompagnent. Marianna plus particulièrment son père. Tous s’asseyent à la grande table de bois. Tous attendent en silence la bénédiction du roi pour que le repas soit servi. Le roi se lève et annonce :

 

  • Mes très chers amis. J’ai connaisance des problèmes de certains d’entre vous et c’est pour cela que je tiens à vous annoncer une bonne nouvelle. Je viens de m’entretenir avec mes deux amis ici présent, j’ai appris qu’un mariage était à organiser. Effectivement Monsieur de Monbien a accepté de donner la main de sa seconde fille à Lyssendre.

 

Les femmes gloussent de joie. Les hommes apploudissent poliment. Pourtant Lyssendre ne décroche aucun sourire sous les félicitations. Il reste de marbre et se permet même un soupire.

 

Deux femmes en bout de table jassent à voix bases, tout en mangeant.

 

  • Le future marié n’a pas l’aire d’être heureux de ce beau mariage. Pourtant, il ne perd rien. La seconde fille du Duc est magnifique et comme la première est toute dirigé à devenir une sœur Capeleine, il a de grande chance d’obtenir les titres et la richesse du Duc. N’importe quel homme en serait combler à sa place.

 

  • Effectivemment, on viendrait presque à se demander ce qu’il fait à la cour ou encore si il n’a pas de préférence pour les hommes.

 

Les deux femmes pouffent de rire.

 

Le roi saluent ces derniers convives. Il ne reste que lui, le Duc et Lyssendre. Le roi est contrarié, tandis que le Duc ferme ces points de colère.

 

  • Mon ami, je veux bien croire qu’un si beau parti que vous ne souhaite guère d’un mariage arrangé, mais vos états d’âme ternise la cour plus que la main sombre du Marionetiste. Faites-vous au manière de la cour ou je devrais obligé de vous renvoyer dans vos campagnes.

 

Nouveau soupire du jeune homme. Le Duc explose.

 

  • Je vous offre la main de ma fille qui pourait faire bien plus beau mariage et vous ne trouver qu’à soupirer ! Vous êtes un gamin prétentieux qui à la chance de porté l’amitié du roi. Il crache vers le roi. Lyssendre n’a de noble que son sang !

 

Le roi fronce des sourcils. Il n’apprécie pas la remarque malgré sa réalité.

 

  • Je vais vous éviter cette honte, mon roi. J’aurais disparu avant que votre colère ne puisse emplire votre cœur. Ne pensez pas me chercher dans mes campagnes, elles sont d’un trop grand ennui.

 

L’homme sort de la salle sans saluer les autres hommes.

 

Le roi est assi sur un rebords de fenêtre, le regard dans le vide. Marianna vient vers lui et lui murmure à l’oreille. Il relève la tête et demande à haute voix.

 

  • C’est donc vrai ? Lyssendre aurait abandonné son manoir et sa ferme pour la vie de roturier dans un des quartiers les plus malfammer de la capitale… Cet homme a dû devenir fou à l’idée de se marier, c’est bien triste.

 

  • Je dois vous avouer, mon roi, n’avoir jamais trouver de sympathie pour lui. Il m’a toujours sembler faible de conviction. Il aurait un bien piètre marie pour ma sœur.

 

Le roi semble soupirer, comme si il avait oublié comme faire. Dehors, la nuit est tombé.

http://luciekout.deviantart.com/

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