Affaire de bureau 2

Une amie m'a, hier soir, motivé et inspiré à enfin finir une des histoires dans laquelle je me suis lancé. J'ai eu des idées pour en continuer plusieurs, mais j'ai finalement décidé de prendre l'une des histoires assez simple pour me faire la main sans perdre de plaisir en me permettant des assez petits chapitres.

Voici donc le deuxième chapitre d'Affaire de bureau.

Pour lire la première partie: Clique ici!

http://victoriaaudouard.deviantart.com/

http://victoriaaudouard.deviantart.com/

La semaine qui suivit l’arriver d’Ethan fut étonnamment remplis et stressante. Effectivement, Lidya m’avait amené une pile assez impressionnante de dossier à finaliser, corriger ou valider. Apparemment, elle était trop occupé par Ethan et les deux autres nouvelles recrus pour faire son travail et avait alléger l’agenda des nouveaux employés en m’ajoutant encore quelques dossiers.

J’avais donc passé la semaine à courir d’un rendez-vous à l’autre pour confirmer tel ou tel payement, harceler au téléphoner les fournisseurs, tandis que je devais calmer des clients qui attendaient depuis trop longtemps. Évidemment quand le jeudi un client demanda directement la direction aux secrétariats, je reçus moi, et non Lidya, un avertissement du directeur.

Il me sermonna d’avoir fait attendre un client, mais en plus de n’avoir pas eu la signature de ma très chère supérieur dans le dossier et de ne pas l’avoir informé des différentes plaintes de client. J’eus de la peine à réprimer mon envie de lui crier dessus qu’il suffisait de voir la trentaine de post-it qui régnaient sur le bureau de celle-ci pour se rendre compte que j’avais communiqué et demander à dix reprises son passage pour lui faire signer des dossiers.

La charge de travail ne s’allégea pas le vendredi. Bien au contraire, Delphine une intérim à plein temps tomba malade et je dus reprendre ses contrats au pied levé. J’appelai alors Cassie notre stagiaire en renfort. Je passa la journée dans la paperasse ou sur mon vélo pour me rendre au rendez-vous de ma collègue malade.

Je ne vis pas la journée passé, mais quand je finis et signai le dernier dossier, la nuit était déjà tombé et il ne restait que cinq personne dans les locaux : Cassie, assises sur mon bureau, les cheveux ébouriffés, savourant le café que je lui avais offert, deux employés de l’entreprise de nettoyage qui frottaient et lustraient à l’autre bout de la salle et Ethan qui avait fini de travailler depuis bien une demi-heure, mais devait être rester pour aménager un peu son espace de travail.

J’étais épuisé. Un troll sortit tout droit de mon imagination devait prendre mon crâne pour une porte de château et tambourinait contre pour la démolir. J’avais à peine dormi la nuit précédente hanté par la réprimande de mon patron et mes jambes tremblaient d’épuisement. Pourtant tout cela semblait s’effacer, maintenant que je pouvais être simplement assis dans ma chaise en face d’un bureau qu’aucun dossier ne recouvrait.

Ethan finit de tailler le palmier nain que son prédécesseur lui avait laissé et j’allais maintenant devoir résister à la tentation d’observer son corps d’Apollon, l’arbuste me le cachant au par avant. Justement, mes yeux s’échouaient sur son corps. La fatigue me faisant perdre mes réflexes je ne pensai à aucun moment à détourner le regard.

- Dure semaine. Je vous ai vu courir toute la journée et apparemment tu as fait ça toute la semaine. C’est assez effrayant d’arriver dans une entreprise et de voir un de ses collègues crouler sous le travail.

Eliot, tout comme Cassie, sursautèrent au commentaire du jeune homme. Je ne réalisai pas immédiatement qu’il m’adressait la parole et me repris soudainement en me rendant compte que mon regard était toujours fixer sur lui.

- Très dure semaine. Je travaille ici depuis deux ans et pourtant je n’avais jamais eu autant. C’est bien la première fois que je vais rentrer chez moi, regarder un film emballer dans une couverture bien chaude et aller dormir. Il me reste un dernier effort à faire, c’est rentré chez moi avec mon vélo… Je suis pas pressé.

Cassie éclata de rire. Elle se moquait toujours de moi, qui, malgré, mon bon salaire et la distance qui séparait mon apparemment de mon travail, continuait à ne pas vouloir de voiture ou même passer le permis. Ethan souriait aussi. Je sentais qu’il aurait voulu se lâcher plus, mais ne nous connaissant pas vraiment il n’avait pas osé.

- C’est étrange quand même… Vous êtes les deux premiers, mise à part Mr.Headsould et Lidya, que j’ai rencontré. Pourtant, vous êtes ceux avec qui je n’ai encore jamais vraiment parlé. J’ai bien l’intention de m’en excuser. Je vais directement commencer, Eliot, si tu veux je te ramène. Tu ne dois pas vivre plus loin que moi. J’habite sur la rive de Lioge, juste avant le pont.

- Malheureusement, je vis plus loin. Mon appartement se trouve dans la tour en verre dans le quartier asiatique… Après le pont.

Nous rîmes en cœur. J’acceptai tout de même ce qu’Ethan me proposait en insistant pour qu’il me laisse au pont. Ethan, en parfait gentleman, demanda à Cassie si elle souhaitait nous accompagner, mais celle-ci déclina son offre puisqu’elle ne vivait qu’à deux rues des bureaux. Elle me lança par la même occasion un sourire qui était bien trop grand pour ne pas caché un plan romantico-dramatique de la jeune stagiaire.

Par chance, Ethan possédait une grande voiture dans laquelle je pus rentrer mon vélo. Il me conduisit jusqu’à chez moi et je ne protestai que par principe ; j’étais bien trop fatigué pour réelement refuser l’économie d’énergie. Nous n’eûmes pas de discussions très passionnantes ou instructives. J’appris juste qu’il était célibataire depuis peu et que c’était pourquoi il était venu s’installer dans cette petite ville. Je n’arrivai, par contre, pas à savoir quoi de plus même pas le sexe de son ancien ou ancienne partenaire.

Quoi qu’il en soit et, malgré mon invitation à venir boire un verre, nous nous séparâmes au bas de mon immeuble. Je rangeai mon vélo dans le local du rez-de-chaussez avant de prendre l’ascenseur pour monter au huitième étage. Je rentrai chez moi. Je me couchai sur mon lit, ne pensant y rester que trente secondes avant d’aller manger, mais je m’endormis et ne me réveillai que le lendemain complètement habiller et affamer.

La semaine qui suivit l’arriver d’Ethan fut étonnamment remplis et stressante. Effectivement, Lidya m’avait amené une pile assez impressionnante de dossier à finaliser, corriger ou valider. Apparemment, elle était trop occupé par Ethan et les deux autres nouvelles recrus pour faire son travail et avait alléger l’agenda des nouveaux employés en m’ajoutant encore quelques dossiers.

J’avais donc passé la semaine à courir d’un rendez-vous à l’autre pour confirmer tel ou tel payamment, harceler au téléphoner les fourniceurs, tandis que je devais calmer des clients qui attendaient depuis trop longtemps. Evidemment quand le jeudi un client demanda directement la direction aux secrétariats, je reçus moi, et non Lidya, un avertisemment du directeur.

Il me sermonna d’avoir fait attendre un client, mais en plus de n’avoir pas eu la signature de ma très chère supérieur dans le dossier et de ne pas l’avoir informé des différentes plaintes de client. J’eus de la peine à réprimer mon envie de lui crier dessus qu’il suffisait de voir la trentaine de post-it qui règnaient sur le bureau de celle-ci pour se rendre compte que j’avais communiqué et demander à dix reprises son passage pour lui faire signer des dossiers.

La charge de travail ne s’allégea pas le vendredi. Bien au contraire, Delphine une interime à plein temps tomba malade et je dus reprendre ses contrats au pied levé. J’appellai alors Cassie notre stagiaire en renfort. Je passa la journée dans la paperasse ou sur mon vélo pour me rendre au rendez-vous de ma collègue malade.

Je ne vis pas la journée passé, mais quand je finis et signai le dernier dossier, la nuit était déjà tombé et il ne restait que cinq personne dans les locaux : Cassie, assises sur mon bureau, les cheveux ébouriffés, savourant le café que je lui avais offert, deux employés de l’entreprise de nettoyage qui frottaient et lustraient à l’autre bout de la salle et Ethan qui avait fini de travailler depuis bien une demi-heure, mais devait être rester pour aménager un peu son espace de travail.

J’étais épuisé. Un troll sortit tout droit de mon imagination devait prendre mon crâne pour une porte de château et tambourinait contre pour la démolire. J’avais à peine dormi la nuit précédente hanté par la réprimande de mon patron et mes jambes tremblaient d’épuissement. Pourtant tout cela semblait s’effacer, maintenant que je pouvais être simplement assis dans ma chaise en face d’un bureau qu’aucun dossier ne recouvrait.

Ethan finit de tailler le palmier nain que son prédéceur lui avait laissé et j’allais maintant devoir réisster à la tentation d’observer son corps d’Apollon, l’arbruste me le cachant au par avant. Justement, mes yeux s’échouaient sur son corps. La fatigue me faisant perdre mes reflexes je ne pensai à aucun moment à détourner le regard.

- Dure semaine. Je vous ai vu courir toute la journée et apparement tu as fait ça toute la semaine. C’est assez effrayant d’arriver dans une entreprise et de voir un de ses collègues crouller sous le travail.

Eliot, tout comme Cassie, sursautèrent au commentaire du jeune homme. Je ne réalisai pas immédiatemment qu’il m’adressait la parole et me repris soudainement en me rendant compte que mon regard était toujours fixer sur lui.

- Très dure semaine. Je travaille ici depuis deux ans et pourtant je n’avais jamais eu autant. C’est bien la première fois que je vais rentrer chez moi, regarder un film emballer dans une couverture bien chaude et aller dormir. Il me reste un dernier effort à faire, c’est rentré chez moi avec mon vélo… Je suis pas pressé.

Cassie éclata de rire. Elle se moquait toujours de moi, qui, malgré, mon bon salaire et la distance qui séparait mon apparement de mon travail, continuait à ne pas vouloir de voiture ou même passer le permis. Ethan souriait aussi. Je sentais qu’il aurait voulu se lâcher plus, mais ne nous connaissant pas vraiment il n’avait pas osé.

- C’est étrange quand même… Vous êtes les deux premiers, mise à part Mr.Headsould et Lidya, que j’ai rencontré. Pourtant, vous êtes ceux avec qui je n’ai encore jamais vraiment parlé. J’ai bien l’intention de m’en excuser. Je vais directement commencer, Eliot, si tu veux je te ramène. Tu ne dois pas vivre plus loin que moi. J’habite sur la rive de Lioge, juste avant le pont.

- Malheureusement, je vis plus loins. Mon appartement se trouve dans la tour en verre dans le quatier asiatique… Après le pont.

Nous rîmes en cœur. J’accepta tout de même ce qu’Ethan me proposait en insistant pour qu’il me laisse au pont. Ethan, en parfait gentleman, demanda à Cassie si elle souhaitait nous accompagner, mais celle-ci déclina son offre puisqu’elle ne vivait qu’à deux rues des bureaux. Elle me lança par la même occasion un sourire qui était bien trop grand pour ne pas caché un plan romantiquo-dramatique de la jeune stagiaire.

Par chance, Ethan possèdait une grande voiture dans laquelle je pus rentrer mon vélo. Il me conduisit jusqu’à chez moi et je ne protestai que par principe ; j’étais bien trop fatigué pour réelement refuser l’économie d’énergie. Nous n’eume pas de discussions très passionantes ou instructives. J’appris juste qu’il était célibataire depuis peu et que c’était pourquoi il était venu s’intaller dans cette petite ville. Je n’arrivai, par contre, pas à savoir quoi de plus même pas le sexe de son ancien ou ancienne partenaire.

Quoi qu’il en soit et, malgré mon invitation à venir boir un verre, nous nous séparâmes au bas de mon immeuble. Je rangeai mon vélo dans le local du rez-de-chaussez avant de prendre l’ascenceur pour monter au huitième étage. Je rentrai chez moi. Je me couchai sur mon lit, ne pensant y rester que trentes secondes avant d’aller manger, mais je m’endormis et ne me réveillai que le lendemain complètement habiller et affamer.

http://sea-of-ice.deviantart.com/

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